Lucia Alessandrini Admin ♪
Messages : 56 Date d'inscription : 31/03/2012 Age : 27 Localisation : Au pays des Bisounours ♥
Who I am Avec qui je suis: Ma Folie ~ Ce que tu dois savoir:
| Sujet: Lucia, Sweet Lucia ~ ♥ Sam 31 Mar - 21:17 | |
| Lucia Alessandrini Lucia - 17 ans - F
| Nom :: Alessandrini. Surnom :: Lulu, Luly, Luci... Bref ♫. Date de Naissance :: 25/12/95. Nationalité :: Italienne. Orientation Sexuel :: Bi ♥ Autre chose ... ♫
|
Ton esprit Lucia... n'est pas saint. Et tu le sais n'est-ce pas ? Oh, oui tu le sais, tu le sais tellement que tu n'y fais même plus attention désormais. C'est devenu courant pour toi de penser à ce dont personne ne pensera jamais. De dire tout haut ce qui ne viendrait même pas à l'esprit des gens. D'agir comme une enfant alors qu'au fond tu peux très bien te montrer aussi garce qu'une adulte. Mais là est toute la différence, Lucia. C'est que toi-même tu ne le sais. Toi qui te confirme en tant que gentille petite gamine qui ne cherche que des compagnons de jeu. Oui, toi Lucia, toi sale gamine qui se veut innocente, tu n'es que le reflet de ton propre esprit gangrené par la folie. En premier lieu, Lucia, tu es d'une joie sans bornes, une joie enfantine qui a le don d'en agacer certains comme d'en attendrir d'autres. Avec l'air de la gentille petite sœur que tu arrives parfaitement à jouer. C'est simple, dans tes gestes comme dans tes mouvements on peut y voir une fille, légèrement gamine, mais parfaitement normale. Bon, presque, parfaitement normale. Alors que dans ton regard... On peut très bien y lire une certaine folie. Une folie que tu as en toi depuis bien longtemps, douce Lucia. Mais tu l'ignores, après-tout, à quoi bon se dire chaque jour que tu es folle ? Si tu l'es, tu l'es. Point barre. As-tu déjà essayé de te faire soigner ? Bien sûr que non, Lucia, tu préfères lentement te faire noyer par ton esprit dérangé. Pourtant, toi, ô belle Lucia. Tu ne cherches qu'à t'amuser. A jouer, d'une manière ou d'une autre. La vie et trop ennuyante d'après toi, tout comme la mort. Donc tu cherches désespérément un moyen de faire de tes journées une véritable escapade à Disneyland. Evidemment, quand je dis « Jeux », ma petite Lucia, je parle de tout ce qui peut faire naitre un certain intérêt pour toi. Du simple ballon en plastique jusqu'à une personne fait d'os et de chair. Pour toi, tant que tu t'amuses, tu peux tout faire. Tu n'as aucune limite.
Lucia, c'est quoi la vie, c'est quoi la mort ? Toi, tu répondras « c'est un truc chiant, rendons-le plus intéressant ! ». D'après toi, ma chère Lucia, la vie d'autrui a autant de valeur qu'un vieux chewing-gum collé sous la table d'un lycéen. La mort n'en a pas plus. C'est quelque chose qui t'ennuie réellement, disons le plus franco : Tu t'en fous. Mourir ou vivre, pour toi c'est un truc qu'on t'oblige à faire. Et c'est pour cela que tu fais de ton mieux pour t'amuser jour et nuit. Oui, la nuit aussi. Allons ne fait pas ta sainte-nitouche Lucia, même si tu es « innocente » tu as passé le stade de la fille qui croit que les garçons naissent dans les choux et les filles dans les roses. Alors, oui, cela t'arrives de montrer (plus que) ton affection chez certaines personnes. Non, soyons clairs. Tu montres ton affection envers n'importe quel humain. Tu n'as pas de préférences, du moins, pour le moment. Tu n'es pas non plus un cœur sur pattes, mais tu aimes cajoler les autres. Disons que tu en as pris l'habitude avec « The Game ».
Passons à la suite de ton esprit si complexe et pourtant si simple. Tu aimes être aimée. Et ça, tu l'avoues toi-même. Tu as besoin d'être aimé. Tu as besoin que l'on t'apprécie. Tu as besoin que l'on te prenne dans nos bras. Et tu as besoin de sentir l'amour des autres. Pourtant, tu es souvent haït, jolie Lucia. Non, tu es surement une des personnes les plus haït du Jeu. Mais tu ne t'en soucis pas plus que cela. Pour toi, l'important c'est d'être aimé de tes « Trésors ». Héhé, ton cerveau est encore plus dérangé que je ne le pensais. Tes « Trésors comme tu dis, sont les personnes participants à « The Game », n'est-ce pas ? Pour toi, ils sont comme des trésors, pourquoi ? Ça c'est à eux de le découvrir.
Tu détestes la solitude, n'est-ce pas, Lucia ? Alors, tu l'ignores. Tu fais tout pour ne pas te rendre compte du trou béant, dans ta poitrine, causé par cette dite solitude. Tu préfères être mal accompagnée que d'être seule, pas vrai ? Ami ou ennemi ceci n'a aucune différence, tant que c'est humain. Tiens, un autre de tes défauts, en plus de vouloir t'accaparer de grès ou de force l'amour d'une personne, tu ne peux pas supporter d'être trahie. Mais quand je dis « Trahie » Lucia, cela peut-être n'importe quelle situation, un simple sourire envers une autre personne, un regard doux destiné à quelqu'un d'autre que toi... pour toi, ces choses si minimes, sont une véritable trahison qui fait ressortir la « Vraie » Lucia, pas la gentille et innocente petite fille, mais bel et bien l'ancienne Lucia, celle qui serait capable de tout pour se venger de cette soit disant trahison. Dans ces moments-là, tu ne te contrôles plus Lucia, tu n'es rien d'autre qu'une jolie poupée devenu aussi macabre qu'un cimetière. Ton désir de vengeance devient alors insatiable et tu sais que tu as les moyens de faire aboutir celle-ci. Mais en réalité, tu es brisée Lucia, « les humains sont si fragiles que cela en est répugnant »... C'est de toi cette phrase, je me trompe ? Mais Lucia... sache qu'un être abandonné de tout ne devient rien de plus qu'une simple coquille vide.
Mais tu le sais mieux que quiconque, n'est-ce pas ? Lucia, toi tu le sais que ce monde souillé par le sang n'a aucune issue jusqu'à son autodestruction. Et c'est pour cela, que tu restes dans « The Game », pour voir à quel point un humain, aussi stupide soit-il, peut aller pour « survivre »... Pour toi, The Game est l'aubaine qui te permet de savoir si oui ou non, tes "trésors" sont capables de souiller un peu plus ce monde pour retrouver leurs petites vies pénardes, dans leurs belles maisons.
Tu es belle Lucia. Non, pas belle, jolie, mignonne, adorable. Oui tous ça tu l’es. Belle ? Oui et non, tout dépend dans qu’elle contexte on utilise ce mot… Lucia, disons que toi, toi ton apparence ne reflète pas ta beauté, mais ton innocence. Une innocence qui se reflète dans chacun de tes pas, chacun de tes mouvements, dans tes membres comme dans ton regard. Oui, tout, vraiment tout, rappelle l’innocence d’une petite fille. Pourtant, ton corps est celui d’une jeune femme. Oui, ta taille, ton poids, tes formes… Bref. Bon, maintenant que l’on a posé les bases de ton physique, Lucia. Nous allons l’étudier minutieusement. Tout d’abord, ta taille Lucia. Ni trop petite, ni trop grande. Une taille qui convient à une jeune fille de ton âge. Tes os se sont normalement développés lors de ta croissance, bien que légèrement fragiles. Tu n’as donc absolument aucun problème de ce côté-là. Néanmoins, ta taille restera ainsi jusqu’à ta mort. On cesse tous de grandir un jour ou l’autre et tu n’échappe pas à la règle petite Lucia. Passons maintenant à la fine couche de peau qui recouvre tes frêles os. Une peau douce et satinée, de couleur pâle. Elle donne envie de la toucher aussi souvent que l’envie nous en prend, n’est-ce pas Lucia ? Toi qui aime qu’on te caresse la joue tendrement, pour prouver que tu comptes pour nous… Passons désormais à tes divers membres. Fines et sveltes, tes jambes sont élégantes et bien proportionnées par rapport à ton corps. Tu les mets agréablement en avance avec des jupes ou de jolis shorts. Tes bras, fins, comme tes jambes. Ils ne possèdent pas assez de muscle pour faire du mal à un quelconque être vivant. Néanmoins, tu adores serrer le corps de ces êtres si fascinants que sont les humains. Oui tu adores les serrer entre tes petits bras, tu aimes les taquiner et les serrer encore plus fort. Tes mains maintenant, aux longs doigts qui n’ont absolument rien à envier à un pianiste. Tu les utilises pour les tâches quotidiennes, ou non, de ta vie. Tu adores cajoler les gens avec tes mains, n’est-ce pas Lucia ? Tu adores les caresser, ainsi que les étouffer avec ces mêmes-mains…
Ton visage, ma petite Lucia, ton visage maintenant. Tu l’aimes ton visage n’est-ce pas ? Aux traits fins et épurés. Un visage qui convient parfaitement à ton image de gentille fille. Ta peau est toujours aussi pâle que sur le reste de ton fin corps. Néanmoins, près de tes yeux, aux pommettes plus précisément, se trouvent une couleur plus vive, signe de ta bonne santé. Tes pommettes donnent envie de les croquer avec tendresse et appétit. Nous parlerons de tes yeux un peut plus tard, d’abord ta jolie bouche. Pulpeuse sans l’être trop, légèrement rosée, nous donnant une folle envie de les frôler du bout des doigts ainsi que du bout des lèvres. To nez, petit, loin d’être un complexe pour toi, orne joliment ton visage. Bien maintenant, tes yeux. Ton regard. Si pur. Si innocent que cela en dégouterait le Diable lui-même. Bleuté, ton regard avec quelques touches de vert anis. On dit que le regard et le reflet de l’âme des gens. Mais pas avec toi, n’est-ce pas Lucia ? Tu es l’exception à la règle, sans doute. Mais toi, tu les aimes tes yeux, pas vrai ? Tu aimes plonger ton doux regard dans celui de ton interlocuteur, pour que celui-ci puisse voir tu as envie de t’amuser avec lui… Ton visage est cerclé d’une chevelure dorée, tombante en cascade dans ton dos. Ta chevelure est douce ainsi que bien entretenue, sans nœud. Elle nous donne envie de passer nos mains dans tes longs cheveux d’ors et de les sentir doucement couler entre nos doigts. Deux longues mèches passant sur ton ta poitrine sont finement tressées.
Ton style vestimentaire est assez simpliste, n’est-ce pas, Lucia ? Des robes, courtes à volants, des jupes en dentelles blanches, des pantalons en jeans, des T-shirts. Bref, une garde robe qui ne vaut pas la palme d’or de l’originalité, mais tu sais comment assembler tes habits si « simplistes » pour plaire à l’œil des autres. Pour t’habiller comme une gentille petite poupée de porcelaine, tu es la reine.
Histoire « Sarei sempre lì per te ...»* [...] « NO! Lucia non ha fatto questo! Ti prego!»* « Bugiardo. »* « LUCIAAAAAAAAA !..... »
Fine.*
Tu ouvres lentement tes paupières, lourdes comme un kilo de plomb chacune. Laissant voir ton environnement à ton regard bleuté. Une pièce sombre et salle, le papier peint manque à plusieurs endroits. Certaines partie de la surface abimée des murs et devenu moisie par l’humidité qui laisse une vague de froid dans la pièce. Le sol où tu es allongée est glacé, ainsi qu’aussi abimé que les murs de cette petite pièce. Tu bouges tes fins doigts, pour voir si tu avais toujours l’usage de ton corps. Les faire bouger te faisait légèrement mal, mais quand tu essayes enfin de te lever Lucia, ton corps se dérobe sous toi. Te voilà à nouveau au sol. Ton corps tremble, tu as horriblement froid. Serais-tu morte ? Ton corps aurait-il enfin succombé ? Tu t’en fous dans un sens, toi tu veux juste que tes tremblements cesse. Tu réussis enfin à te mettre debout, en t’aidant du mur à ta droite. Tu sens que ton bras de lance, Lucia, tu soulève la manche de ton chemisier et aperçois une marque de piqure sur ta veine. On t’a donc drogué… Tu t’en fous, si t’étais un mec tu dirais que tu t’en branle, mais ce n’est pas le cas, donc on reste sur le basique « tu t’en fous ». Toujours en t’aidant du mur, tu parcoures la salle dallée pour atteindre un couloir éclairé. Tu marche difficilement, le cerveau toujours brouillé par les substances que l’on ta injecté dans le bras. Te demandes-tu ce que tu fais ici ? Non, tu t’en fous aussi. A cette époque tu n’avais plus rien à foutre de rien. Le lieu où tu te trouvais était aussi important que de savoir que le nom scientifique du chat commun est « Felis silvestris »…
Tu marchais donc dans ce couloir, sans te demander une seule fois où pouvais-tu bien avoir atterrie. T’avances, tenant de mieux en mieux sur tes jambes encore légèrement tremblantes. Ton regard était terne à l’époque. Terne et sans vie. La lumière du couloir aveugle tes deux saphirs, te faisant automatiquement mettre ta main sur ceux-ci. Tu continue, néanmoins, d’avancer vers cette lumière qui t’agace plus qu’autre chose. Les murs, sont toujours aussi sales, même plus loin. Tu t’avances toujours autant, tu n’as pas peur. Même en apercevant de légères traces de sang sur le sol. Tout en continuant de marcher, tu arrive à sentir l’odeur des livres abimés qui gisent misérablement au sol. Tu ne tremble plus, la température monte au fil de tes pas. La lumière, tu commences à t’y habituer, et au moment où tu pensais voir une silhouette devant toi, tu pénètres dans une ancienne bibliothèque. Des dizaines de livres sont au sol, la plupart abimés, tombant presque en poussière. Certaines étagères en désordre croulent sous la poussière, tu arrives même à apercevoir un rat rongeant quelques pages d’un ouvrage traitant de psychologie, d’après la couverture. La lumière, venait d’un grand nombre de fenêtres se trouvant sur le côté. Tu te places au centre de la pièce, observant au passage un grand nombre de titres de livres, quitte à être enfermée dans une bibliothèque, autant avoir de quoi lire et de préférence quelque chose de pas trop chiant, n’est-ce pas, Lucia ? Au moment où tu frôlais la reliure d’un des livres au sol, tu sentis une présence devant toi. Tu te relèves, le toisant de ton regard morne. Des cheveux bruns, et un regard de la couleur de l’écorce te fais face, un sourire sur les lèvres.
« Bienvenue dans « The Game » Lucia Alessandrini. Ton collier te vas bien, mais tu devrais lire les règles avant de commencer tu ne crois pas ? »
The Game ? Pour l’instant tu ne comprends pas exactement de quoi il parle ce jeune homme, mais bientôt tu sens son visage souriant rivé sur ton cou. Tu lèves un doigt vers celui-ci et sent quelque chose de froid et métallique. Tu abaisse ton regard en même temps que t’es douces mains venaient attraper la chose qui t’encerclait le cou. Tu ne tente pas de l’enlever, à quoi bon ? Tu t’en fous. Pour toi, un collier c’est rien qu’un collier, même si celui-ci peut provoquer ta mort en moins de quelques secondes. Finalement tu reposes ton regard océan sur l’étrange rencontre que tu viens de faire. Cette fois, il montre du doigt un papier posé sur une table près d’une lampe qui ne semblait pas en très bon état. Tu comprends juste qu’il faut que tu lises ce bout de papier. Tu le prends entre tes longs doigts, faisant attention à chaque mot et à chaque point de ce torchon. À la fin de ta lecture, tu lèves à nouveau ton regard vers le jeune homme, mais désormais tu ne le vois plus nulle part. Tu tournes la tête de tous les côtés, pour finalement entendre sa voix du fond de la bibliothèque.
« Maintenant tu sais ce qui t’attends ici, tu fais désormais équipe avec Aiko Deb, bon courage dans le jeu ! »
Puis, plus rien. Tu ne te souviens de plus rien. Hormis d’avoir arpenté pendant des jours une ville déserte aux côtés d’une fille que tu ne connaissais ni ‘Eve ni d’Adam. Pour être honnête. Cet endroit t’a plu dès le début. Le but, ainsi que la ville en elle-même t’as plus. Et tu devais admettre, que devoir découvrir le géni qui à créé ce jeu macabre étais quelque chose qui te donnais envie de finir le jeu. Et tu l’as terminé. Tu l’as fini et gagné. Mais bizarrement, le quittait ne te plaisais pas. Ici, tu es heureuse n’est-ce pas, Lucia ? Tu te sens protégée, tu te sens bien. Tu ne veux pas le quitter. Ici, tu t’amuses et c’est le plus important pour toi, jolie Lucia. Tu es donc restée, tu continue de participer, et inlassablement tu recommenceras le jeu… Après tout, c’est la seule chose qui arrive à te faire sourire désormais, mais aussi te faire pleurer. La seule chose qui arrive encore à faire naitre des émotions en toi, c’est ce jeu. Alors, jamais tu ne le quitteras… *Je Serais Toujours là pour toi… *Non ! Ne fais pas ça, Lucia ! Je t’en prie ! *Menteuse. *Fin.
[center] Autre Autre chose en X lignes minimums.
| Puff :: Rain ♥ Age réel :: Compte le nombre d'étoiles dans le ciel et... Non, tu le fais vraiment ? O_O Date de Naissance :: 17 Janvier ♫ Comment a tu connu le forum :: Grâce à ma Femme ♥ Code du règlement :: Validé By Lulu ♫ Autre chose ... Je suis une petite libellule qui vous n'aime ~♥
|
| |
|